Le Notre Père
Le Notre Père  
Le prêtre prononce l'invitation à la prière du Notre Père ; tous les fidèles disent celle-ci avec les prêtres. 

Avec le Notre Père commence la liturgie de la Communion : les frères qui vont recevoir le corps du Christ s'efforcent d'entrer sans sa prière en une attitude de confiance filiale et de pardon mutuel.  

L'invitation, l'oraison proprement dite (= le " Notre Père ") l'embolisme (" Délivre-nous de tout mal ") et la doxologie (A toi le règne) à laquelle le peuple conclut cet ensemble, sont chantés ou dits. (PGMR 56)  


Moins qu'un chant, le " Notre Père " est surtout une prière - LA prière - et la prière de tous : il est bon que, précisément, tous puissent s'y associer. On peut donc le chanter ou le parler, l'important est de garder le climat de prière.  


Si on le chante, la mélodie doit donc en être simple et connue. Il n'est pas recommandé de la changer souvent. Par contre, une mélodie différente que celle de Rimsky - par exemple celle de Darasse - pourrait sans doute être davantage vulgarisée. 

Si l'on chante l'ensemble du Notre Père/embolisme/doxologie, on veillera à un bon enchaînement (notamment sur le plan des tonalités). Le rappeler au célébrant, afin que celui-ci ne change pas de ton !  
Le Notre Père