L´Agneau de Dieu
L´Agneau de Dieu  Après avoir prié le Notre Père, dès la fraction du pain, nous entonnons l'Agneau de Dieu... 

La fraction : ce geste reprend celui du Christ qui, à la Cène, " rompit le pain ". Il signifie que " nous ne formons qu'un seul Corps, nous qui communions au même pain. " (1 Co 10,17) 

Pendant ce temps, on chante ou on dit " Agneau de Dieu " autant de fois que c'est nécessaire pour accompagner la fraction. (IM 56)  


On veillera à ne commencer l'" Agneau de Dieu " qu'au moment de la fraction du pain. L'agneau de Dieu est le chant d'accompagnement du rite. Il doit aider l'assemblée à entrer dans la solennité et la gravité du moment. 

Si le prêtre n'est pas prêt pour celle-ci (par exemple parce qu'il n'a pas terminé le baiser de paix), l'orgue ou les instruments pourraient préluder. 

Le nombre d'invocations n'est pas, automatiquement, de 3 : il doit être réglé sur la longueur du rite. Il peut être de deux seulement ou de quatre, ou de cinq, ou plus...! 

Le texte peut être tropé (c'est-à-dire : contenant un élargissement à base de textes bibliques tels que ceux de l'Apocalypse) avant l'invocation de l'assemblée. 

On évitera de centrer l'attention sur la paix : ce geste a déjà été fait, normalement. 

On ne " tuilera " pas sur la finale du chant, par une annonce expliquant la procession de communion. La faire éventuellement pendant le geste de paix et avant de commencer le chant de la fraction.  
L´Agneau de Dieu